Québec, le 5 juillet 2022 Les grandes chambres de commerce francophones à l’international s’associent pour propulser la francophonie économique.

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Québec, le 5 juillet 2022 – La Chambre de Commerce et d’Industrie de Wallonie a profité de la première édition du Rendez-vous d’affaires de la Francophonie à Québec, événement réunissant des acteurs économiques francophones du monde entier, pour signer un protocole d’entente inédit entre les grandes chambres de commerce francophones à l’international. 

Une initiative unique de coopération internationale en francophonie économique

Les signataires visent à créer un espace de discussions et d’échanges afin de stimuler leur réseau de chambres de commerce nationales, régionales, provinciales, territoriales et locales et leur vaste ensemble d’entreprises membres pour accroître les échanges économiques et commerciaux au sein du monde francophone.

La CCIW s’est ainsi entourée de :

  • La Chambre de commerce et d’industrie de France (CCIF);
  • La Chambre de commerce, d’industrie et des services de Genève (CCIG);
  • La Conférence permanente des chambres consulaires africaines et francophones (CPCCAF);
  • La Fédération des chambres de commerce du Québec.

Outre le rapprochement stratégique et la dynamisation des échanges, ce partenariat entend positionner le français comme langue incontournable pour faire des affaires à l’international.

Citations :

« Le français est un puissant outil de développement économique qui vous ouvre les portes de marchés lucratifs partout sur la planète ! Ce bel exemple de collaboration renforcera assurément le statut d’une francophonie dynamique et internationale et je me réjouis déjà des opportunités qui se présenteront aux chambres de commerce et entreprises québécoises conscientes de son potentiel » – Charles Milliard, président-directeur général, Fédération des chambres de commerce du Québec

« Les entreprises qui veulent se développer à l’export peuvent compter sur les chambres consulaires qui les accompagnent pour faire des affaires à l’international, particulièrement dans l’espace économique francophone qui compte notamment 25 pays africains parmi les 54 du Continent » – Christophe Eken, président, Conférence permanente des chambres consulaires africaines et francophones (CPCCAF)

« Les pays dont la langue est le français représentent 35% des échanges économiques des entreprises wallonnes. A nous de leur ouvrir de nouvelles perspectives concrètes à travers notre réseau de chambres de commerce. » – Philippe Barras, président, Chambre de commerce et d’industrie de Wallonie

« Les grandes Chambres de commerce francophones forment un réseau unique dans le monde au service des entrepreneurs. La signature de ce protocole d’entente est l’occasion de renforcer nos liens et de créer un collectif dynamique au sein du monde francophone, pour accélérer les échanges et les partages de bonnes pratiques et d’opportunités d’affaires. Au nom des 3,8 millions d’entreprises que nous représentons en France, je me réjouis de ce rapprochement utile et stratégique. » –  Alain Di Crescenzo, président Chambre de commerce et d’industrie de France

« Le français est la deuxième langue la plus parlée en Suisse, parmi nos 4 langues nationales; à cet égard, il est naturel pour la Chambre de commerce de Genève de défendre son usage, et ce d’autant plus qu’un idiome constitue également un levier économique de première importance. A ce titre, l’association des grands chambres francophones permettra de conjuguer nos efforts pour consolider l’espace francophone économique ; elle nous paraît d’autant plus pertinente que Genève accueillera le Congrès mondial des chambres en 2023, lequel fera la part belle aux organismes francophones » – Vincent Subilia, directeur général, Chambre de commerce, d’industrie et des services de Genève (CCIG)

À propos de la Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ)

Grâce à son vaste réseau de 125 chambres de commerce et 1 200 membres corporatifs, la Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ) représente plus de 50 000 entreprises exerçant leurs activités dans tous les secteurs de l’économie et sur l’ensemble du territoire québécois. Plus important réseau de gens d’affaires et d’entreprises du Québec, la FCCQ est à la fois une fédération de chambres de commerce et une chambre de commerce provinciale. Ses membres, qu’ils soient chambres ou entreprises, poursuivent tous le même but : favoriser un environnement d’affaires innovant, concurrentiel et durable.

À propos de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Wallonie (CCIW)

La CCIW est un réseau de 6 chambres de commerce et d’industrie en Wallonie, fort de 6000 entreprises membres. Accompagnant celles-ci depuis leur création, leur développement, jusqu’à la transmission. Avec un accent sur l’exportation et la certification en entrepreneuriat durable.

À propos des Chambres de commerce et d’industrie de France (CCI France)

CCI FRANCE est l’établissement national fédérateur et animateur des Chambres de Commerce et d’Industrie (CCI) françaises. Porte- parole des 121 CCI françaises, CCI France représente et défend les intérêts des 3,8 millions d’entreprises ressortissantes auprès des pouvoirs publics français et européens. Elle joue son rôle de corps intermédiaire à vocation économique pour promouvoir le développement des entreprises et des territoires.

À propos de la Chambre de commerce, d’industrie et des services de Genève (CCIG)

La Chambre de commerce, d’industrie et des services de Genève (CCIG) a pour objectif d’assurer une économie forte, permettant aux entreprises qui constituent le tissu économique local d’exercer leur activité de manière pérenne. Indépendante des autorités politiques, elle fait entendre la voix des entreprises, en travaillant à l’amélioration des conditions-cadres de l’économie. Elle offre en outre diverses prestations destinées à faciliter la vie des entreprises et à leur permettre de se concentrer sur leur cœur de métier.

Association de droit privé fondée en 1865, la CCIG compte aujourd’hui quelque 2400 entreprises membres.

À propos de la Conférence permanente des chambres consulaires africaines et francophones (CPCCAF)

La CPCCAF (Conférence permanente des chambres consulaires africaines et francophones) a pour objet de favoriser les partenariats entre acteurs economiques francophones, pour le développement économique de l’Afrique, grâce à la coopération entre les membres de son réseau international. Réseau constitué de 130 chambres consulaires et organisations intermédiaires dans 32 pays (dont 25 pays africains), la CPCCAF est au service du développement du secteur privé et de la croissance économique fondée sur des relations équilibrées entre entreprises de l’espace francophone.

Pour cela, la CPCCAF met en œuvre des actions de coopération sur le terrain, en Afrique, dans des domaines tels que la formation et l’emploi, l’insertion des jeunes et des femmes, la transition écologique / numérique, la structuration des chaînes de valeur et la sécurité économique. La CPCCAF contribue par ailleurs à la visibilité économique du continent africain, grâce à ses enquêtes, comme, depuis 2013, le Baromètre annuel des entreprises africaines (10 000 réponses dans 20 pays africains), et aux études qu’elle réalise régulièrement.

Renseignements :

Florent Favrel – Directeur, Corridors de commerce
Fédération des chambres de commerce du Québec
T. 514 844-9571 poste 3261 | C. 438 398-1203
florent.favrel@fccq.ca

Alissia Leonara – Responsable relations internationales
Chambre de commerce et d’industrie de Wallonie
T : +32 474 219356
a.leonora@cciwapi.be

Françoise Fraysse – Chargée de la presse et des partenariats
Chambre de commerce et d’industrie de France
+33 (0)6 79 94 59 90
f.fraysse@ccifrance.fr

Vincent Subilia – Directeur général
Chambre de commerce, d’industrie et des services de Genève (CCIG)
T. +41 22 819 91 21
v.subilia@ccig.ch

Denis Deschamps – Délégué Général
Conférence permanente des chambres consulaires africaines et francophones
Tel / WA : +33676929966
ddeschamps@cci-paris-idf.fr

L’ENTREPRENEURIAT, LA MEILLEURE RECETTE POUR L’EMPLOI

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Avec un taux d’emploi de 64,6% en 2020, la Wallonie est très loin de l’objectif de 80% du gouvernement wallon. Comment y arriver ?

De 2015 à 2019, les entreprises et les indépendants ont augmenté le nombre d’emplois de 57.563 unités et les administrations publiques de 10.188. Le constat est clair : ce défi de l’emploi, on le gagnera d’abord en créant plus d’entreprises et en leur donnant un environnement favorable à leur développement.

Ces dernières années, de multiples initiatives ont été prises pour faciliter ou accompagner la création d’entreprises. Citons par exemples créajob, les bourses et clubs des jeunes entrepreneurs, mind & market, les starter days, les boost camps, les pitchs et webinaires, le mentorat, les pépinières d’entreprises et autres incubateurs,… Les résultats sont positifs mais encore insuffisants.

Cet esprit d’entreprise doit être favorisé dès l’enseignement secondaire, là où la curiosité des jeunes est très importante et à une période où ils se cherchent encore. La mobilisation des jeunes pour le climat montre combien ils peuvent s’investir pour des choses qui ont un sens. 23% des jeunes wallons ont moins de 20 ans (contre 20% en Europe). Ils veulent faire bouger les choses et sont créatifs : donnons-leur un environnement où ils pourront s’exprimer et entreprendre.

Projets de mini-entreprises, rencontres avec de jeunes entrepreneurs, visites et stages en entreprise : autant d’occasions de leur montrer qu’ils pourront s’épanouir et trouver un sens à leur vie future, en étant eux-mêmes acteurs de la création ou du développement d’une entreprise.

Quelques autres pistes : donnons des notions concrètes de gestion lors de la dernière année des formations qualifiantes professionnelles ; généralisons le tutorat pour aider les jeunes à bien démarrer dans la vie active ; diffusons l’esprit d’entreprise via les réseaux sociaux, en faisant parler de jeunes entrepreneurs, car il n’y a rien de plus convaincant qu’un dialogue entre pairs.

Mais ne réduisons pas l’entrepreneuriat à la seule création d’entreprise. Dans les sociétés existantes, qu’elles soient petites ou grandes, il est tout aussi important de mettre en place une organisation favorisant la créativité et l’esprit d’entreprise des membres du personnel, pour améliorer ou créer de nouveaux produits ou services, et donc préserver et/ou augmenter l’emploi. C’est le cas pour les entreprises qui s’inscrivent résolument dans le développement durable. Une telle démarche ne peut être réussie que si tout le personnel est impliqué, avec une approche projet qui permet à chacun de prendre des initiatives, quelle que soit sa fonction.

NWOW : UNE ORGANISATION DU TRAVAIL HYBRIDE

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New Way Of Working ou une nouvelle façon de travailler. Depuis le confinement en mars dernier, on est en plein dedans, et encore pour de nombreux mois, si pas de manière récurrente, car rien ne dit que le virus n’aura pas muté entretemps.   

Après les mesures d’organisation prises en urgence au printemps, nos entreprises doivent maintenant réfléchir et mettre en place une organisation durable et performante rencontrant les contraintes sanitaires.

Le télétravail est la première mesure à laquelle on pense. C’est une problématique complexe. Deux jours par semaine ou plus ? Une présence de tous un même jour de la semaine ? Un roulement par équipes ? Quid du contexte légal et des obligations de l’employeur selon qu’il s’agit de travail à domicile ou de télétravail ? Quid de l’avantage voiture de société si télétravail ? Tous les employés ont-ils un bureau à domicile pour travailler correctement ? Qu’en est-il du besoin humain de rencontrer ses collègues ? Comment intégrer des nouveaux collègues et/ou garder une forte culture d’entreprise ?

Une seconde mesure touche à l’organisation physique des postes de travail dans l’entreprise. Bureaux séparés ? Paysagers ? Espaces de coworking ? Couloirs de circulation ? Comment réorganiser les chaînes de production pour assurer la distanciation sociale. Comment revoir les zones de contact et/ou de stockage avec les fournisseurs, les clients, etc…

Une troisième mesure est d’ordre numérique : se doter des équipements permettant les visioconférences, renforcer le marketing digital, par exemple en créant des capsules vidéo pour présenter ses produits ou services, organiser des webinairs. Le tout en assurant la sécurité informatique. 

On pourrait continuer sur ce thème du NWOW, notamment, réinventer le contact avec la clientèle ou l’organisation d’événements promotionnels. Car il y a un facteur qui restera toujours primordial dans nos réflexions et actions : le contact humain, qui est indispensable pour le bien-être au travail, et nos relations avec nos clients, partenaires et fournisseurs. Les entreprises qui arriveront rapidement à mettre en place une organisation de travail hybride (présentiel + télétravail) alliant sécurité sanitaire, bien-être au travail et performance économique, surmonteront la crise actuelle.

Philippe Barras

Président CCI Wallonie

BUSINESS AS USUAL ?

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Nos ancêtres les gaulois n’avaient peur que d’une seule chose : que le ciel leur tombe sur la tête !

C’est un peu ce qui nous est arrivé avec cette pandémie inattendue. Après deux mois de quasi cessation d’activité et un déconfinement nous permettant un retour à une certaine normalité, nous savons tous que la situation restera précaire pendant au moins une année, le temps qu’un vaccin soit produit et largement diffusé.

Dans cette attente, les priorités à court terme sont de sauver les activités les plus touchées, et par la même les dizaines de milliers d’emploi qu’elles engendrent (notamment grâce au programme Ré-Action initié par la Sogepa et dont les CCI sont vos contacts sur le terrain). Il s’agit en effet de maintenir nos outils et nos capacités industrielles qui sont indispensables pour permettre une bonne relance économique.

Mais on ferait un mauvais calcul en n’intégrant pas dans cette relance les mesures et actions indispensables pour lutter contre un danger encore plus important, certes à moyen et à long terme, à savoir le réchauffement climatique et l’épuisement de nos ressources naturelles. Revoir nos objectifs, produire mieux plutôt que plus, repenser notre consommation, changer nos comportements… Autant de défis à relever et qui prendront du temps. Nombre d’entreprises wallonnes se sont déjà engagées dans des actions de RSE (responsabilité sociétale des entreprises).  Cet automne, les CCI de Wallonie iront plus loin, en développant un programme de certification en entrepreneuriat durable qui couvrira les 17 objectifs de développement durable établis par le Sommet de Rio. Cette certification, sous label de l’ONU (UNITAR), sera la reconnaissance que tous les acteurs de l’entreprise (actionnaires, direction, personnel, délégués syndicaux) partagent les mêmes objectifs et agiront de concert pour que, demain, nous ayons une société et des entreprises alliant développement économique et transition écologique.

Philippe Barras

Président CCI Wallonie

FÉLICITER  ET BIEN PRÉPARER L’ « APRÈS »

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Alors que la situation sanitaire évolue dans le sens d’une amélioration constante, on peut féliciter les Chambres locales de Wallonie pour l’appui de force et de qualité qu’elles ont donné aux entreprises en les aidant à résister. Tout en poursuivant cette action, il est important de réfléchir à l’après – corona en proposant quelques lignes directrices à la lumière de la situation vécue. De quoi procéder à une certaine réinvention de soi et de la Wallonie.

Il s’agirait de:

  • pérenniser l’esprit ainsi que les circuits et réalités de solidarité qui se sont faits jour
  • faire preuve du même esprit de résilience et de solidarité en faveur du développement de la Wallonie
  • ne plus jamais oublier la culture, son pouvoir d’humanité et d’émancipation ainsi que les gens et les activités qui la portent
  • faire de l’avenir et donc de la prospective un bien commun à partager et élaborer collectivement
  • assurer l’équilibre entre les circuits courts et la valorisation worldwide de nos capacités et talents à l’exportation. Dans le même esprit, diversifier géographiquement nos sources d’approvisionnement et de sous-traitance
  • intensifier les simplifications administratives et institutionnelles

pratiquer l’alliance emploi – environnement, mais aussi l’alliance emploi – santé, l’alliance emploi – bien-être et plus globalement l’alliance emploi – développement durable

  • considérer et faire considérer l’entreprise comme un acteur important de cette réinvention (apporteur de valeur, de sens et d’harmonie à la société)
  • éviter l’infantilisation des aînés et faciliter leur apport à la collectivité par des missions citoyennes
  • ajouter le B.I.B. (Bonheur intérieur brut), en ce compris la santé, dans les paramètres collectifs.

Philippe SUINEN

Président CCI Wallonie

CCI WALLONIE: UN PROGRAMME POUR L’ENTREPRENEURIAT DURABLE

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L’entreprise constitue en Wallonie une communauté citoyenne intégrée dans son bassin de vie, dans sa région, dans son pays, dans l’Europe et dans le monde. Sa vocation de base consiste à créer de la valeur et à participer au bien commun.

Ce bien commun est été clairement traduit par les 17 Objectifs de Développement Durable (O.D.D.), qui ont été fixés lors du Sommet de Rio + 20 et adoptés ensuite par l’Assemblée Générale de l’ONU le 25 septembre 2015. Ils représentent clairement le plan d’action mondial destiné à, d’ici 2030, libérer l’humanité de la pauvreté et à mettre la planète sur la voie de la durabilité. Nos entreprises ne peuvent pas passer à côté.. Et cela d’autant moins que de plus en plus d’opérateurs économiques sont attentifs à ce que leurs partenaires, fournisseurs et sous-traitants soient activement attentifs à ces enjeux.

À l’instar de leurs homologues flamandes, les Chambres de Commerce et d’Industrie de Wallonie, avec leur structure régionale (CCI Wallonie), entendent offrir aux entreprises wallonnes la possibilité de parfaire, concrétiser et faire connaître leur engagement d’entrepreneuriat durable, en liaison avec le réseau des institutions onusiennes. Un double niveau de certification sera ainsi mis en place:

► D’abord, la certification CCI Wallonie de la Charte pour l’Entrepreneuriat Durable, octroyée sur base d’une année de mise en œuvre d’un plan de développement durable, comprenant au moins 10 actions nouvelles ou améliorées, couvrant ensemble chacun des 5 clusters regroupant les 17 O.D.D.. Ces 5 clusters sont appelés les 5 P: les personnes, la planète, la prospérité, la paix et le partenariat;

► Un certificat Unitar (Nations Unies) si au moins une action est entreprise dans chacun des 17 O.D.D. sur une période ininterrompue de 3 ans.

Dans les deux cas, la décision finale revient à un comité indépendant d’évaluation.

Téléchargez le courrier complémentaire : 20200303_ODD Entrepreneuriat durable.

CCI WALLONIE DANS UN NOUVEAU PROJET EURAFRICAIN

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Les autorités en charge du programme Archipelago viennent d’accorder une subsidiation à un projet auquel participe CCI Wallonie. Ce projet vise au développement d’un dispositif « formation en alternance – insertion professionnelle » dans quatre régions du Sénégal. Il est piloté par l’APEFE (opérateur de coopération pour Wallonie Bruxelles International) et comprend également dans le consortium les Chambres de Commerce sénégalaises de Dakar (déjà partenaire de CCI Wallonie), Djourbel, Kolda et Louga, ainsi que le Centre de formation et de recherche en Aquaculture (CEFRA) de l’Université de Liège et l’Office Sénégalais de la Formation Professionnelle. L’action est programmée pour 28 mois et représente un budget de 600.000 €.
CCI Wallonie intervient dans les actions suivantes du projet:
– mise en place d’une formation courte en entrepreneuriat
– formation de formateurs des chambres de commerce sénégalaises
– mise en relation des entrepreneurs, notamment sénégalais et wallons, ainsi que des chambres de commerce
– identification de services nouveaux au bénéfice des jeunes entreprises et candidats entrepreneurs
– appui à la mise en place de ces nouveaux services
– aide à la clusterisation.
Une action de proximité donc dans un pays émergent.
Pour en savoir plus sur Archipelago…
 
Le programme Archipelago, financé par l’Union Européenne dans le cadre de son Fonds d’Urgence pour l’Afrique vise à soutenir la création d’emplois, à la fois qualitatifs et durables, dans des pays de l’Afrique centrale et de l’Ouest (Burkina Faso, Cameroun, Côte d’Ivoire, Gambie, Ghana, Guinée, Mali, Mauritanie, Niger, Nigéria, Sénégal, Tchad).
 
Il tend ainsi à répondre aux difficultés engendrées sur le continent par l’exclusion économique et sociale, la marginalisation et les situations structurelles d’inégalité qui conduisent à la migration irrégulière. Il s’agit d’augmenter les capacités professionnelles ainsi que l’employabilité et les possibilités locales d’emploi, ce par le développement de capacités correspondant aux besoins du secteur privé. Le programme Archipelago appuie ainsi des partenariats euro-africains entre structures d’accompagnement des entreprises et établissements de formation professionnelle et technique.
 
Les moyens financiers du programme sont de 15 Mios € pour une période de 48 mois, à partir de décembre 2018, avec un objectif de 10.500 jeunes et entrepreneurs touchés. La taille financière des projets doit se situer entre 400.000 et 600.000 €.  Les résultats souhaités sont les suivants:
  • le secteur privé et les jeunes sont sensibilisés et conscients des opportunités offertes par la formation professionnelle;
  • la formation dispensée permet aux jeunes d’acquérir des compétences correspondant aux besoins du secteur privé et aux potentiels économiques identifiés;
  • le développement économique local et l’entrepreneuriat sont encouragés et le dialogue public-privé est amélioré.
Les partenaires au sein du consortium de gestion d’Archipelago sont SEQUA (agence de développement du secteur privé allemand), EUROCHAMBRES et la CPCCAF (Conférence Permanente des Chambres Consulaires Africaines et Francophones).

Un plus pour les entreprises tunisiennes et wallonnes

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La Présidente et le Directeur Général de la Chambre de Commerce et d’Industrie du Cap Bon (Tunisie) sont venus effectuer, du 2 au 5 octobre, une mission de partenariat auprès de leurs consœurs CCI de Wallonie et de Wallonie Picarde. C’est d’ailleurs la CCI WAPI qui constitue, dans le cadre de la Chambre Wallonne, le point de contact avec le Cap Bon, région tunisienne spécialisée dans les secteurs de la céramique (jumelage avec le Hainaut), de l’agro-alimentaire (par exemple la pomme de terre et 80 % de la production tunisienne de raisin) et du tourisme (1/4 de la capacité tunisienne d’hébergement touristique).

Les CCIs ont ainsi défini un programme de travail de 4 ans, portant sur les mises en contact d’entreprises, le partage d’expertises, expériences et bonnes pratiques ainsi qu’une approche sectorielle et de actions communes sur marchés tiers en Afrique.

Ce projet a été accepté par la commission mixte permanente Tunisie – Wallonie Bruxelles et bénéficie ds l’appui de Wallonie Bruxelles International: il confirme les entreprises et les Chambres de Commerce comme acteurs de développement.

Suivez les missions économiques multisectorielles des CCI de Wallonie

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MISSIONS ANNONCÉES :

Du 28 septembre au 1er octobre 2019 :
Mission à Vilnius (Lituanie)
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Du 29 au 31 octobre 2019 :
Mission à Casablanca (Maroc)
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Du 17 au 22 novembre 2019 :
Mission au Bénin et au Togo
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Du 10 au 12 décembre 2019 :
Mission au Sénégal
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Janvier 2020 (date à fixer) :
Mission en Tunisie
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NOS PARTENAIRES

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