Les chambres de commerce ont investi dans une plateforme de partage baptisée ‘Connects’

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Le réseau vous offre une ouverture sur le monde, rien que ça !

Les chambres de commerce vous proposent donc le monde même si, pour beaucoup, le monde c’est déjà la commune voisine, la province d’à-côté, la région qui jouxte la leur… Qu’importe donc vos ambitions, vos stratégies, l’outil existe, il entend aider ceux qui veulent collaborer, qui veulent partager, qui veulent s’ouvrir… bref tous ceux parmi vous qui veulent utiliser la force de notre vaste réseau pour croître !

Car les chambres de commerce, on l’oublie un peu trop souvent, c’est avant tout un immense réseau d’entrepreneurs et d’entreprises. Et, à l’ère du digital, ce réseau est aujourd’hui planétaire. Pourquoi donc ne pas en profiter ? La Chambre a du coup investi dans un outil qui devrait permettre à ses membres de trouver – gratuitement ! – de nouveaux partenaires, qu’ils soient distributeurs, fournisseurs, producteurs… et ce aussi bien en Wallonie, qu’en Flandre, en Allemagne, au Grand-duché, aux Pays-Bas, aux quatre coins de l’Europe, bien sûr, ou même dans les recoins reculés de la planète !

Profiter du réseau mondial des chambres de commerce…

Précisons d’emblée que ce qui est proposé là, c’est un vrai service supplémentaire online – sans aucune contrepartie financière pour les membres donc – qui s’ajoute à ceux dont bénéficie déjà le ‘membership’ des CCI, via sa cotisation annuelle. Mais se limiter aux seuls membres, c’est aussi fermer le réseau à tous ceux qui ne font pas partie des 12.000 chambres à travers le monde, et donc faire perdre de l’attrait au produit qui se veut le plus ouvert possible. Il en résulte que les non-membres n’ont pas été oubliés, il leur sera également loisible de se connecter au réseau interactif mondial (un service payant évidemment pour eux), le modérateur de la CCI validant toutefois, les concernant, leur connexion après analyse…

… et intégrer des entreprises venues d’ailleurs !

Mais venons-en maintenant au coeur du sujet en insistant sur le fait que cette plateforme – propre (et exclusive !), rappelons-le, aux chambres de commerce – invite à la mise en relation d’entreprises fiables (puisque les profils sont validés par les CCI elles-mêmes) et au développement d’opportunités d’affaires. L’intérêt notable, c’est qu’il n’y a ni exclusive, ni obligation dans le chef de qui que ce soit, on ne s’arrêtera donc ni à la taille, ni au(x) métier(s), ni à la localisation des prospects, sachant que des liens ont également été tissés avec des plateformes publiques à travers de nombreux pays… ouvrant inévitablement des brèches tous azimuts.

Des mots-clés pour avancer…

Concrètement, les entreprises enregistrées sur Connects (aur) ont la possibilité, que ce soit pour alimenter leur(s) base(s) de données prospects ou partenaires, de faire des recherches à partir de mots-clés (prenons l’exemple des termes bière ou bois), mais aussi d’affiner le résultat d’un point de vue géographique, c’est-à-dire par pays, par région… jusqu’à trouver celui qui s’intégrera le plus opportunément dans la dynamique stratégique globale ou particulière. D’un point de vue technique, il n’est pas inutile de préciser que la plateforme s’appuie sur les avancées de l’intelligence artificielle (IA) pour répondre à tous les besoins des entrepreneurs (indépendants et/ou patrons) ; des opportunités leur seront d’ailleurs régulièrement proposées en regard des recherches entreprises antérieurement par chacun.

Toujours prêt !

Et ce n’est pas (encore) tout : la plateforme sera aussi réactive, c’est-à-dire qu’elle permettra naturellement d’identifier toutes les nouvelles opportunités publiées quotidiennement, alors que les utilisateurs publieront, eux, bien sûr, leurs propres demandes, solutions et/ou opportunités au(x) moment(s) propice(s). À contrario, toute entreprise souhaitant rester anonyme, entre autres pour ne pas éveiller les soupçons de la concurrence quant à ses volontés, défis et ambitions, pourra également le faire en ne se dévoilant pas nommément.

Facile et dans sa langue !

Côté linguistique, pas de tracas si vous ne maîtrisez pas la langue de Shakespeare ! En effet, le moteur est disponible dans de nombreuses langues, dont le français bien sûr. Dans les faits, un traducteur automatique aide l’utilisateur à effectuer ses recherches en traduisant les mots-clés en fonction des marchés visés. Si le mot bière fait par exemple l’objet d’une recherche, toutes les entreprises actives dans ce secteur, et/ ou toutes les opportunités contenant ce mot, vous seront proposées indépendamment de la langue de publication de départ. Ne vous étonnez donc pas si des opportunités de partage contenant le mot « beer », « bier », « cerveza » ou encore « birra » apparaissent dans vos résultats si, en lançant vos recherches, vous n’avez pas ciblé un pays en particulier. Ajoutons que la messagerie interne est également dotée d’un outil de traduction, ce qui vous permet de contacter votre futur partenaire dans votre propre langue, encore une autre fonctionnalité qui lève une barrière supplémentaire pour les usagers unilingues.

Vous êtes convaincu ?

En tant que membre de la Chambre de commerce et d’industrie du Luxembourg belge, votre effort est minime quant à ce produit neuf qui est, répétons-le, entièrement gratuit. Pour faire simple, nous vous annonçons déjà que vous recevrez dans les prochaines semaines un lien personnel vous invitant à vous connecter. Ce n’est ni un ‘fake’, ni une usine à gaz, non c’est ce nouvel outil ! Notez-le aussi, nous avons fait une démo du produit, le mercredi 4 mars, dans nos locaux, afin de vous familiariser avec ce nouvel outil que nous qualifierons de ‘révolutionnaire’ ou à tout le moins de très opportun, histoire d’en saisir tout le potentiel… qui est vraiment, selon nous, exceptionnel.

Visionnez la séquence…

Plus d’infos ?
Modérateurs : Corine Giandou 061 29 30 40 – Stéphanie Wanlin 061 29 30 43

Au revoir Président, au revoir notre Ami, au revoir Cher André.

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Chers patrons,
Chers membres,
Chers Amis,

C’est avec une immense tristesse que la Chambre de commerce vous contacte aujourd’hui en pleine période de confinement. Notre Président, André Roiseux, vient de nous quitter, victime du coronavirus. Ce drame touche évidemment l’ensemble du Conseil d’administration, la Directrice, avec laquelle il formait depuis de nombreuses années un vrai tandem au service de l’Institution, et toute l’équipe de la Chambre, qui lui faisait entièrement confiance.

Mais en ces heures dramatiques, nous voulons tout d’abord, et avant tout, penser à son épouse, Andrée, à sa fille Catherine, à son beau-fils, Grégory, ainsi qu’à ses petites-filles qu’il aimait tant. Nous leur présentons en notre nom, mais aussi au nom de tous les patrons de notre grande famille, nos plus sincères condoléances. Notre Président a donné de son temps et de son énergie pour la Chambre de commerce, nous ne l’oublierons pas. Nous nous souviendrons, comme vous sans doute, de sa jovialité exceptionnelle, de sa verve au micro et de son humour dans les relations. André était vraiment quelqu’un de bien ! Nous nous rappellerons aussi qu’il a été un excellent Président, toujours prêt à s’investir pour la Chambre, pour les patrons, pour le Luxembourg belge. Il aimait à dire que la Chambre de commerce est « The place to be », nous lui disons aujourd’hui, avec des larmes dans les yeux, que nous n’oublierons pas ces mots et qu’il restera pour toujours en nos cœurs quand la Chambre réunira ses patrons. Au revoir Président, au revoir notre Ami, au revoir Cher André.

Bernadette Thény, Directrice de la Chambre de commerce
L’équipe de la Chambre de commerce
Les vice-Présidents Gérard Piron, Michel Bouttier et Etienne Genin
Le Conseil d’Administration de la Chambre de commerce

Economie circulaire

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Stratégie wallonne ambitieuse !

Quand nos Autorités sont ambitieuses, il convient de le souligner… En l’espèce, saluons le Gouvernement wallon qui a validé fin janvier la mise en place d’outils destinés à élaborer une nouvelle stratégie wallonne en matière d’économie circulaire. Pour développer cette stratégie, ce sont d’ailleurs pas moins de trois instances de gouvernance qui seront prochainement mises en place, c’est dire !

Avec un comité de pilotage, une plateforme intra-administrations et un comité d’orientation, l’économie circulaire – dont on nous dit qu’elle pourrait générer entre 15.000 et 100.000 emplois en Belgique d’ici 20 ans – paraît en de bonnes mains. Il faut dire que le Ministre de l’Economie, le marchois Willy Borsus ne dit pas autre chose et assène : « Nous sommes convaincus des synergies nécessaires entre objectifs économiques et environnementaux. En économie circulaire, les possibilités de développement sont infinies… ».

Limiter les consommations et le gaspillage des ressources

Rappelons, pour ceux qui l’auraient oublié, que l’objectif de l’économie circulaire est de limiter fortement la consommation et le gaspillage des matières premières et des sources d’énergie. Les grands gourous de cette ‘nouvelle’ économie estiment que c’est une piste de salut pour notre région, arguant que la transition vers une économie circulaire doit permettre à la Wallonie de renforcer sa compétitivité, de réaliser des économies, de mettre en oeuvre une utilisation plus efficace des ressources, de créer des emplois, et de réduire l’impact de la production et de la consommation sur l’environnement (changement climatique, gestion des ressources, biodiversité). Et oui, rien que ça… mais tout ça !

Une volonté wallonne

Et le Gouvernement wallon y croit puisque sa déclaration de politique régionale prévoit d’inscrire la Wallonie et « l’ensemble de ses activités économiques dans une approche d’économie circulaire ». On se souviendra qu’en février 2019, le Parlement wallon avait même adopté un rapport introductif sur l’économie circulaire. Et que le Gouvernement avait par ailleurs entamé une série de travaux pour promouvoir une économie circulaire. On pense aux textes sur la prévention et la gestion des déchets, au ‘Green Deal’ achats circulaires, à la création du site dédicacé (www.economiecirculaire.wallonie.be ), à la vitrine de l’économie circulaire en Wallonie, à l’organisation de formations en économie circulaire…

Il y a, semble-t-il, des milliers d’emplois là-derrière !

Courant de l’année dernière, il y a aussi eu pêle-mêle l’appel à projet du gouvernement wallon visant à booster la filière de recyclage du plastique et la taskforce qui a été mise en place. Mais il fallait désormais coordonner tout cela pour en faire un engagement stratégique à la fois ambitieux et coordonné. Ce qui sera bientôt chose faite… puisque le Gouvernement wallon va aujourd’hui encore plus loin en présentant une vision qui sera bien entendu en phase avec les orientations européennes. Cette approche comprendra des objectifs stratégiques et opérationnels et des mesures de facilitation transversales.

Aller vite… et bien !

Pour élaborer cette stratégie et renforcer la dynamique wallonne autour de l’économie circulaire, les trois instances de gouvernance dont nous avons parlé plus haut seront tout bientôt mises en place. Chapeautées par la Direction du Développement Durable, en collaboration avec la Direction de la Politique économique (SPW Economie), ces instances vont travailler à la mise en place de la fameuse stratégie économie circulaire wallonne.

Le « Développement durable » a 10 ans

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L’occasion pour la Province de rappeler son engagement en la matière !

En 2019, la cellule Développement Durable de la Province de Luxembourg et son Guichet de l’Energie ont fêté un bel anniversaire : 10 ans. Véritable interface entre les citoyens et les différents niveaux de pouvoir, cette institution s’inscrit comme un acteur incontournable dans la transition énergétique et environnementale. 

Ajoutons-y que ce département porte, depuis 2014, le projet Pep’s Lux, reflet de l’ambition de la Province à devenir un territoire à énergie positive. Cette initiative d’envergure, soutenue par IDELUX et l’ULG, répond à la préoccupation partagée par de nombreux territoires ruraux en Europe quant à leur devenir énergétique, environnemental, et donc économique.

Une collaboration étroite avec la Chambre de commerce

Dans cette dynamique, un dossier publié dans un précédent numéro (EA 199), présentait ce qui fait de notre province un territoire à part sur le plan énergétique, mais aussi les initiatives et les expériences qui permettent d’envisager un avenir durable. Dans la continuité de ce dossier, nous avons finalisé, en cette fin d’année, la réalisation d’une capsule vidéoprésentant deux entreprises de la province de Luxembourg qui ont fait de la transition énergétique et environnementale leur stratégie de développement. Ces différentes réalisations sont issues d’une collaboration étroite entre Pep’s Lux et votre Chambre de commerce.

Les exemples Q-Food et Scidus…

Vous retrouverez ainsi en images une présentation des entreprises Q-Food Ardenne et Scidus, versus énergie. Pour l’une, spécialisée dans la production de steaks hachés à Neufchâteau, ce sont les équipements frigorifiques, les investissements économiseurs d’énergie et de production d’énergie renouvelable qui font sa spécificité. Pour l’autre, située à Etalle et spécialisée dans la transformation et la valorisation du bois, c’est le développement d’une approche écologique de construction en bois par des matériaux bio-sourcés et l’implémentation de pratiques moins énergivores qui démontrent la préoccupation majeure qu’elle a de réduire l’impact environnemental de son activité. Deux situations, deux activités différentes… pour un objectif commun.

Les principales tendances voyage en 2020, selon Booking.com…

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Et si cela vous inspirait, vous, patron de l’horeca de la province !

Appréciés par certains, détestés par d’autres, les géants de la réservation en ligne font aujourd’hui, qu’on le veuille ou non, la pluie et le beau temps sur le secteur hôtelier. Omniprésents – omnipotents, diront même certains – il faut avouer qu’avec le temps ils ont une connaissance des plus parfaites de leur milieu, notamment Booking.com qui reste, comme chacun le sait, le leader dans le domaine des voyages et de la technologie. Pour mieux appréhender l’année 2020, cette dernière a mené une étude auprès de 22.000 voyageurs issus de 29 marchés et a scruté plus de 180 millions de commentaires de clients (authentiques) pour pouvoir dévoiler les grandes tendances d’avenir, et pas seulement pour l’année qui s’ouvre. Et si notre horeca y trouvait des réponses à ses questions…

Remarquons donc, pour commencer, que le monde reste en perpétuel changement, tout comme les attentes, les envies et les besoins de ceux qui partent à sa découverte. De plus en plus connectés, les voyageurs chercheront à visiter des endroits méconnus, à préserver l’environnement et à tisser des liens profonds avec les personnes et les lieux qu’ils rencontreront. Ben voilà, le ton est donné… pas si mauvais que ça pour notre province !

Nouvelles destinations
L’année prochaine, à en croire cette vaste enquête, les voyageurs chercheront à découvrir des destinations moins réputées… afin de réduire le tourisme de masse et, ainsi, protéger l’environnement. Sachez-le, 54 % des voyageurs internationaux déclarent vouloir participer à la réduction du tourisme de masse (56 % chez les 18-25 ans), et 51 % affirment qu’ils changeraient leur destination d’origine pour une alternative similaire – mais moins connue ! – si cela leur permettait de réduire leur impact sur l’environnement. Dans la même veine, six voyageurs sur dix aimeraient avoir accès à un service (application ou site Internet) qui leur recommanderait des destinations en fonction du bénéfice que les communautés locales pourraient tirer d’une hausse du tourisme. Du tourisme responsable donc…

Technologie et inattendu !
En 2020, les voyageurs s’en remettront encore plus à la technologie pour leurs escapades, en espérant recevoir des recommandations intelligentes et fiables susceptibles de leur faire découvrir de nouvelles expériences qui auraient autrement pu leur échapper, autant de ‘révolutions’ permettant de gagner du temps et de profiter de chaque minute du voyage. Les chiffres montrent que de très nombreux voyageurs souhaitent désormais que la technologie les surprenne, avec des options originales, et leur permette de vivre des expériences totalement nouvelles. 56 % des voyageurs déclarent être prêts à utiliser une application qui permet de découvrir et de réserver rapidement et facilement des activités au cours de leur voyage, et 44% utiliseraient volontiers une application leur permettant d’organiser à l’avance leurs activités, afin d’avoir toutes les informations au même endroit.

Le trajet fait partie de l’expérience
L’an prochain, plutôt que de vivre à toute vitesse et de passer à côté de l’instant, les voyageurs prendront (enfin) le temps de profiter de leur(s) séjour(s). Un séjour qui commence avec le voyage en lui-même : 48 % des voyageurs envisageraient même d’allonger le temps de trajet vers leur destination afin de réduire l’impact environnemental du séjour. Et ce n’est pas tout, un nombre croissant de voyageurs cherchent maintenant, paraît-il, à emprunter un itinéraire plus long pour profiter davantage du trajet et des paysages : le vacancier des temps modernes veut désormais faire un voyage au cours duquel les déplacements font partie intégrante de l’expérience de séjour (64 % aimeraient faire un long voyage dans un train historique, comme l’Orient Express, alors que 56 % affirment qu’ils accepteraient d’allonger le trajet vers leur destination s’ils pouvaient ainsi n’emprunter qu’un seul moyen de transport…).

Pensez aux animaux domestiques !
Il semble aussi que le début d’une nouvelle ère soit annoncé dans le secteur des voyages… aujourd’hui également centrés sur les animaux. Les vacanciers semblent en effet placer les besoins de leurs compagnons bien avant les leurs quand il s’agit de choisir une destination, un hébergement et des activités. Si 55 % des propriétaires d’animaux domestiques affirment que leur animal est aussi important pour eux que leur(s) enfant(s), ils sont 42 % à déclarer qu’ils choisissent de nos jours leur destination de vacances en fonction de l’animal en question. Pire, un sur deux accepterait de payer un hébergement plus cher si celui-ci acceptait les animaux domestiques. En réaction à ce phénomène, le nombre d’établissements acceptant les animaux domestiques ne cesse d’augmenter. Certains gérants mettent à profit cette tendance et cherchent même des moyens innovants de placer la barre encore plus haut en proposant des offres et des équipements spécialement adaptés (paniers gratuits, spas, menus…).

Et vivez des séjours intergénérationnels…
2020 sera aussi, dit-on, celle des grands voyages entre grands-parents et petits-enfants. 71 % des grands-parents estiment au travers de cette enquête qu’il est important pour les parents de passer du temps loin de leurs enfants, 72 % pensent que passer du temps avec leurs petits-enfants est un moyen de continuer à se sentir jeunes, la plupart estimant, sans surprise, que les vacances sont l’une des meilleures occasions de passer du temps en famille.

Sans oublier l’intérêt des bonnes tables !
Les envies culinaires des voyageurs vont également jouer un rôle majeur dans le choix des destinations voyages en 2020. Au moment de choisir les dates et le lieu de séjour, nombre de vacanciers penseront encore avant tout aux belles tables qu’ils pourront réserver. Vous savez, ces pépites cachées, connues uniquement des locaux et qui proposent des spécialités comme on n’en trouve nulle part ailleurs. Ce sont bien sûr les adresses qui intéressent le plus les voyageurs à la recherche d’expériences culinaires authentiques (7 voyageurs sur 10 indiquent aujourd’hui que manger des produits locaux est important pour eux lorsqu’ils sont en vacances).

Et pourquoi pas le voyage… à long terme ?
Aujourd’hui, la retraite n’est plus seulement synonyme d’un âge à atteindre et de fin de carrière. En 2020, de nombreux voyageurs feront plutôt rimer leur vie avec « grands projets » et « nouvelles aventures ». 65 % des voyageurs estiment d’ailleurs de nos jours que les voyages sont un moyen idéal d’occuper cette nouvelle période de leur existence : 47 % prévoient même d’être plus aventureux dans le choix de leurs destinations une fois à la retraite…

Notre province peut franchement voir l’avenir touristique sereinement…
Voilà donc, selon Booking.com, les tendances pour l’année qui vient et les suivantes. Autant le dire franchement, les constats sont plutôt intéressants et invitent à une certaine positivité quant à notre milieu, nos établissements et l’état d’esprit général qui guide nos professionnels. Ah, rien ne sera facile, bien sûr, mais le Luxembourg belge reste plus que jamais une destination dans l’air du temps…

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Comptoir Hôtels du Luxembourg belge
Yannick Noiret : 061 29 30 55