Dispenses de cotisations sociales : Coup de pouce pour les entrepreneurs en difficulté? Oui, mais…

Posted on Posted in CCI Luxembourg Belge

Toute personne assujettie au statut social des travailleurs indépendants doit, au premier jour de son activité, on ne vous apprend bien sûr rien, d’une part s’affilier auprès d’une « caisse d’assurances sociales » et, d’autre part, payer les cotisations afférentes à cette démarche.

Ça, vous l’aurez compris, c’est pour la règle générale. Mais cette règle connaît de temps à autre des exceptions ! Savez-vous, par exemple, qu’un entrepreneur peut toujours être dispensé du paiement de ses cotisations en cas de difficultés majeures ? Savez-vous qu’il est permis au patron d’attendre… pour rebondir ?

Mesure d’exception… ou presque !

Si des solutions existent pour celui qui connaît des problèmes passagers, il faut tout de même être conscient que de tels cas de figure engagent quand même largement celui qui y recourt. Afin de solliciter la dispense de paiement des cotisations sociales, l’indépendant doit se trouver dans un « état de besoin » ou dans une « situation proche de l’état de besoin ». Ah, précision importante, ces dispositions ne valent que pour l’indépendant à titre principal !

En cas de besoin…

Signalons d’emblée quand même que la notion de besoin est plutôt floue. En effet, même à y regarder de très près, aucun texte légal ne définit clairement à quoi correspond l’état de besoin. Autrement dit, la commission qui sera amenée à répondre à votre demande aura donc une sorte de pouvoir d’appréciation souverain à cet égard. Cela étant, nous pouvons tout de même considérer l’état de besoin comme la situation d’un indépendant ne pouvant plus subvenir à ses besoins élémentaires… ni faire face à ses obligations. Il faut noter, à ce sujet, qu’il est tenu compte de la situation globale du demandeur, c’est-à-dire que seront pris en considération non seulement l’ensemble de ses revenus (professionnels, mobiliers, immobiliers ou autres), mais également ceux déclarés au nom des personnes domiciliées sous le même toit que lui (la preuve de cet état de besoin incombant au demandeur, ndlr).

Un mécanisme qui va encore plus loin…

Allons plus loin encore… et précisons que cette procédure est également étendue aux héritiers d’un indépendant qui était encore redevable de cotisations sociales. Il est en effet possible que, suite à la succession, la caisse d’assurances sociales réclame aux héritiers le paiement des cotisations dues par le défunt. Ceux-ci ne pourront s’y soustraire que dans le cas où eux-mêmes se trouvent dans une situation de besoin. Par ailleurs, l’indépendant se faisant assister par un aidant peut lui aussi se voir réclamer le paiement des cotisations de l’aidant en question si celui-ci ne s’en acquitte pas. Ici encore, l’indépendant devra lui-même se trouver dans un état de besoin pour en être dispensé. Finalement, le principe de solidarité entre l’entreprise et ses associés implique que si un associé ne paie pas ses cotisations sociales, la caisse d’assurances sociales pourra en réclamer le paiement à l’entreprise. Le représentant de celle-ci ne pourra dès lors obtenir une dispense pour les cotisations de l’associé que s’il prouve que la société se trouve dans une situation financière difficile.

Comment se déroule la procédure ?

La première étape vous impose logiquement d’introduire la demande, via l’envoi du formulaire type et de ses annexes, auprès de votre secrétariat social. C’est lui – et pas vous! – qui se chargera de transmettre le dossier au greffe de la commission des dispenses (SPF Finances, I.N.A.S.T.I). Le règlement précise en outre que vous avez la possibilité de demander à être présent lors de l’audience durant laquelle la commission statuera sur votre demande (mais vous ne serez convoqué que si vous l’avez demandé, ndlr). Concrètement, vous pouvez comparaître en personne (soit seul, soit accompagné d’un conseil, par exemple votre comptable) ou vous faire représenter par un avocat, voire par une autre personne à qui vous avez donné procuration. Comme signalé plus haut donc, la présence à l’audience n’est pas obligatoire, même s’il est toujours intéressant d’être là, ne serait-ce que pour fournir à la commission la preuve de votre état de besoin. Une fois prise, la décision de la commission vous sera communiquée, par le greffe, via lettre recommandée. Le délai moyen de cette procédure est actuellement de 8 à 10 mois!

Pour quelles cotisations ?

Les cotisations prisent en considération sont celles ne remontant pas à plus de 12 mois à partir :

  • du 1er jour du trimestre civil qui suit celui auquel se rapportent les cotisations visées par la demande ;
  • du 1er jour du trimestre qui suit celui au cours duquel un décompte de régularisation a été envoyé par la caisse d’assurances sociales, lorsque la demande porte sur le supplément de cotisations qu’entraîne cette régularisation.

Concrètement toujours, cela signifie qu’une demande introduite durant le premier trimestre 2015 ne pourra porter que sur les cotisations dues à partir du premier trimestre 2014. La décision de la commission se rapporte aux cotisations dues (échues) au moment de l’introduction de la demande et expressément visées par la demande, ainsi que sur les cotisations dues (échues) entre le moment de l’introduction de la demande et celui où la commission prend sa décision.

Conséquences d’une dispense de cotisations sociales ?

La Commission peut décider d’accorder – soit totalement, soit partiellement – la dispense des cotisations en fonction de l’appréciation de l’état de besoin. Cette décision aura des conséquences notamment sur la pension de l’indépendant ainsi dispensé. En effet, et ce n’est pas rien, il faut noter que toute dispense de cotisation accordée fait perdre le droit futur à la pension pour la période concernée. S’agissant de la mutuelle, la loi prévoit qu’un « Code dispense » soit inscrit sur les bons de cotisation. L’organisme mutuelliste demandera au départ à l’indépendant qui en bénéficie un pourcentage supplémentaire de cotisation, supplément qui sera remboursé si la demande de dispense est acceptée ou si l’indépendant paie finalement les cotisations sociales correspondantes. En matière d’allocations familiales, une loi du 1er juillet 2008 prévoit que les allocations pour les enfants d’indépendants restent acquises de manière inconditionnelle (il n’est donc plus permis de bloquer le paiement des allocations familiales lorsque les parents indépendants ne payent pas leurs cotisations sociales, ce qui était le cas par le passé).

Conclusion

Il ne vous a pas échappé à la lecture de ceci que la décision d’introduire une demande de dispense doit être mûrement réfléchie, en restant en outre très vigilant quant aux délais de procédure! N’introduisez en tout cas une demande de dispense que si votre situation financière est réellement très difficile! Notez aussi que si vous êtes propriétaire d’un bien immobilier, vous avez peu de chance que votre demande soit acceptée. Au moment où vous introduisez votre demande, il est conseillé de joindre un formulaire d’enquête sociale. Ce formulaire peut être rempli par un(e) assistant(e) social(e) de votre mutuelle ou de votre CPAS afin d’attester de votre « état de besoin ».

Peut-on demander le remboursement de cotisations sociales déjà payées?

En théorie, rien n’interdit à un travailleur indépendant d’introduire une demande de remboursement des cotisations sociales déjà payées. En pratique, toutefois, il est extrêmement rare d’obtenir ce type de dispense. En effet, la commission considèrera que si le travailleur indépendant a payé ses cotisations, c’est qu’il était alors en mesure de le faire !

Plan d’action annuel : L’avis du comité doit être demandé avant le 1er novembre

Posted on Posted in CCI Luxembourg Belge

L’employeur est tenu de soumettre un projet de PAA pour avis au comité pour la prévention et la protection au travail avant le premier jour du mois précédant l’année de service à laquelle il se rapporte. Pour les entreprises dont l’année de service commence le 1er janvier 2016, le plan d’action doit donc être soumis au comité avant le 1er novembre 2015.

Rappelons que la législation sur le bien-être oblige chaque employeur à évaluer et à inventorier les risques, ainsi qu’à prendre les mesures de prévention nécessaires pour la promotion du bien-être de ses travailleurs au travail. Ces mesures doivent être reprises dans un plan global de prévention établi pour une période de 5 ans.

L’élaboration pratique du plan global de prévention doit faire l’objet d’un plan d’action annuel (PAA).  On y trouve les objectifs prioritaires dans le cadre de la politique en matière de prévention, les moyens et méthodes pour réaliser ces objectifs, les missions, obligations et moyens de toutes les personnes concernées, les éventuelles adaptations à apporter au plan global de prévention.

Bières wallonnes : nouveau concept de différenciation

Posted on Posted in CCI Luxembourg Belge

Parmi les centaines de bières belges qui contribuent à la richesse de notre patrimoine gastronomique, il n’est pas forcément aisé de repérer les bières brassées en propre et de valoriser, ce faisant, le savoir-faire des artisans-brasseurs.

Bien consciente de cette « problématique » qui préoccupe les brasseurs, l’Agence wallonne pour la Promotion d’une Agriculture de Qualité (APAQ-W) a récemment lancé un concept de différenciation des bières wallonnes qu’elle a baptisé «Belgian Beer of Wallonia»!

À la demande des brasseurs wallons

La création du concept en question fait donc écho aux souhaits de nombreux brasseurs wallons qui entendaient bénéficier d’un support intemporel de promotion complémentaire au Concours Best Belgian Beer of Wallonia existant depuis 2012, lequel visait déjà, pour rappel, à mettre en évidence non seulement la qualité et la diversité de nos bières brassées en propre, mais aussi le savoir-faire de nos brasseurs.

Identification wallonne

Désormais donc, le consommateur ne s’y trompera plus au moment de craquer pour telle ou telle cuvée, puisque nos bières régionales brassées en propre seront facilement reconnaissables, notamment via la possibilité d’apposer le logo sur l’étiquette. Au-delà, les brasseurs qui adhéreront au concept d’identification Belgian Beer of Wallonia pourront aussi s’en servir pour commercialiser leur(s) produit(s) dans tous les circuits de valorisation qu’ils souhaitent (épicerie fine, grandes et moyennes surfaces, vente directe à la brasserie ou à la ferme, dans le secteur HoReCa, mais aussi lors de festivals et fêtes de la bière, sur les marchés de terroir…).

Belgian Beer of Wallonia, c’est presqu’une charte!

Pour être reconnu, le brasseur doit évidemment être en règle avec les législations qui lui sont applicables, il doit aussi s’être acquitté de sa rétribution annuelle à l’APAQ-W, mais il doit surtout répondre à une série d’obligations liées à son produit, son process ou son implantation. Ainsi, le (ou les) siège(s) d’exploitation du brasseur doi(ven)t être situé(s) en Wallonie, les étapes comprises entre le brassage et la fermentation principale, la garde (le cas échéant) et la refermentation en bouteille doivent être effectuées au(x) siège(s) d’exploitation du brasseur, le brasseur doit aussi être le dépositaire du nom des bières qui sont brassées en propre. La liste actualisée de ses bières doit d’ailleurs être remise une fois par an à l’APAQ-W. Vous vous doutez qu’aucune bière à façon, ou dite « à étiquette », ne pourra évidemment jamais porter le logo !

20 brasseurs wallons adhèrent déjà au concept…

Venant des quatre coins de Wallonie, une vingtaine de brasseurs font déjà pour l’heure partie de Belgian Beer of Wallonia, notamment quatre brasseries luxembourgoises – la Brasserie de Bastogne, la Gengoulf, La Rulles et Les 3 Fourquets – qui bénéficient déjà, comme les autres, des efforts de promotion annuels que l’APAQ-W compte mettre en place pour assurer à notre patrimoine brassicole toute la visibilité qui lui sied.

bbow

Apéritif-rencontre de la Foire Agricole de Libramont

Posted on Posted in CCI Luxembourg Belge

L’apéritif-rencontre de la Chambre de commerce et d’industrie du Luxembourg belge, lors de la 81ème édition de la Foire Agricole de Libramont, s’est déroulé ce vendredi 25 juillet. Un réel succès !

Parmi les quelque 230 personnes présentes, toutes issues du monde des entreprises, nous comptions également  Willy Borsus, Ministre fédéral des Classes moyennes, des Indépendants, des PME, de l’Agriculture et de l’Intégration sociale, René Collin, Ministre wallon de l’Agriculture, Philippe Courard, Président du Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles et Bernard Moinet, Député Provincial en charge de l’Economie, du Tourisme, des Finances et des Ressources Naturelles.

Un moment très convivial, un rendez-vous incontournable où chaque patron peut échanger avec ses pairs comme avec nos ministres.

Ce diaporama nécessite JavaScript.

 

 

ENVIRONNEMENT – Vous êtes actif dans le commerce de détail… Le PIC, ça vous dit quelque chose ?

Posted on Posted in CCI Luxembourg Belge
La VIe réforme de l’Etat dont on a tant parlé ces derniers mois s’est, on le sait, surtout traduite par de nombreux transferts de compétences du fédéral vers le régional. Parmi d’autres, la politique en matière d’autorisations concernant les implantations commerciales a aussi été revue. Il en résulte, s’agissant du commerce donc, que les permis socio-économiques qui encadraient jusqu’alors toute implantation d’une surface commerciale deviendront sous peu des permis d’implantation commerciale, avec un nouvel acronyme à la clé : PIC.

«Et alors ?», nous direz-vous sans doute… Oui, et alors ? Et bien du changement… Signalons déjà que si les permis étaient jusque-là délivrés par le SPF Economie, ils le seront désormais sous l’égide de la DGO6, et de sa toute fraîche Direction des Implantations commerciales. Du coup, certains changements se profilent évidemment à l’horizon…

Une nouvelle administration

Afin de réguler l’implantation des activités commerciales et éviter l’apparition de friches commerciales, ou au contraire de zones de suroffre, mais également afin de simplifier les procédures existantes, la Wallonie s’est récemment dotée d’une nouvelle Direction des Implantations commerciales. Sylvain Antoine est le tout nouveau (et premier) fonctionnaire affecté à ces implantations. Avec son équipe, il est à ce titre responsable de l’évaluation des demandes de permis d’implantation et répond à toutes vos questions en la matière…

Un nouveau décret datant du 5 février 2015

Signalons que, pour encadrer et légiférer le tout, un nouveau décret a été publié au Moniteur belge, c’était le 5 février dernier. Son cadre : suppléer la loi fédérale de 2004. Dans les faits, le décret instaure aussi l’Observatoire du Commerce qui aura pour mission de rendre rapports, avis, observations, suggestions et propositions liées à la thématique, tant dans le cadre des demandes de permis de plus de 2.500 m², que dans le cadre des recours. Une commission ad hoc a d’ailleurs été mise en place, comme son nom l’indique elle connaîtra les recours introduits des schémas de développement commercial, le permis d’implantation commerciale et ses faits générateurs, les autorités compétentes pour la délivrance de ces permis, les procédures et délais pour l’obtention des permis…

… faits générateurs

En la matière, et comme c’est déjà le cas actuellement dans le cadre des permis socio-économiques, le chiffre de 400 m² est – et reste – important. En effet, c’est au-delà de cette surface commerciale nette que les projets de construction, d’extension ou de modification importante de la nature du commerce seront soumis au PIC (Permis d’Implantation Commerciale). Il en sera d’ailleurs de même pour les ensembles commerciaux dépassant cette taille.

… et exceptions

On le sait, une règle sans exception n’est pas une règle. Aussi, pour les commerces déjà autorisés, les projets d’extension ne dépassant pas 20 % de la surface commerciale nette existante, et avec un plafond de maximum 300 m² de surface commerciale nette supplémentaire, seront uniquement soumis à déclaration préalable. Les projets liés au déménagement d’une surface de moins de 400 m² dans un rayon de 1.000 m, et pour autant que l’implantation commerciale reste dans la même commune, peuvent également se contenter d’une simple déclaration préalable.

… autorités compétentes

La commune sera encore compétente pour les projets de moins de 2.500 m². Au-delà de cette taille, c’est la DGO6, plus précisément le fonctionnaire des implantations commerciales, qui prendra le relais. De même, les projets situés sur plusieurs communes se verront soumis à l’autorité régionale. Enfin, sachez que des avis pourront être demandés à la région, même pour les plus petits projets, ainsi qu’aux communes limitrophes pour les projets dépassant 1.000 m². Ajoutons encore que dans le cadre de permis intégré, en se rappelant que le fonctionnaire de l’urbanisme est l’autorité compétente pour les matières relevant du CWATUPE, le projet sera soumis à l’autorité conjointe du fonctionnaire des implantations commerciales et du fonctionnaire délégué (urbanisme), ainsi que, le cas échéant, du fonctionnaire technique (environnement).

Un outil internet appelé… LOGIC

Mais revenons-en sur le terrain. On s’appuiera désormais pour toute demande sur un outil appelé LOGIC, qui est en fait une base de données spatiale de l’offre commerciale contenant plus de 30.000 points de vente (>400m²) répartis sur l’ensemble du territoire wallon. Cette interface permettra de rédiger la base de la demande de permis (il sera d’ailleurs dorénavant obligatoire de passer par cet outil) et, côté décideurs, de motiver les décisions relativement à des thèmes tels que la protection du consommateur, la protection de l’environnement urbain, la politique de l’emploi et la contribution à une mobilité plus durable. En effet, le système comprend des indicateurs relatifs à la mixité commerciale, à la densité de l’emploi, à la mobilité durable… (Pour l’heure, 8 indicateurs sont en cours de validation au niveau des autorités wallonnes, ndlr).

… et des schémas de développement commercial

La Région s’est par ailleurs dotée d’un schéma de développement commercial, sorte de « traduction papier » des données encodées dans LOGIC. Ce schéma reprend une analyse fine et détaillée de l’état du commerce en Wallonie, ainsi que l’analyse des potentiels de développement et les recommandations qui vont de pair… De quoi lire et s’instruire, croyez-nous. Ce schéma représente des données à un instant « t » et devra donc être mis à jour régulièrement (tous les 4 ans au maximum). Il servira de base pour les décisions à prendre en matière de PIC, mais également pour le développement de schémas réalisés à l’échelle communale. Notez quand même que l’ensemble de ces schémas n’a qu’une valeur indicative… et pas de force règlementaire.

Permis intégré… Késako ?

Pour conclure sur le sujet, nous en terminerons en abordant encore le futur permis intégré… qui n’est autre que le petit frère du désormais connu permis unique (environnement et urbanisme) englobant, en sus de ses matières, vous vous en doutez, les aspects liés aux implantations commerciales. Qui dit permis intégré, dit donc une seule demande, un seul permis et… une seule procédure! Est-ce la porte ouverte vers une simplification administrative ? Pourquoi pas ! On ne connaît évidemment pas encore la forme exacte que devra prendre la demande, on sait seulement (par le décret, ndlr) que les délais de rigueur que devront respecter les autorités sont calqués sur ceux relatifs au permis d’environnement. Il en résulte que, selon les cas, trois administrations (DGO3, DGO4 et DGO6) se partageront la tâche liée à la rédaction du rapport de synthèse permettant à la commune de se positionner lorsqu’elle est l’autorité compétente ou encore liée à la prise de décision lorsque l’autorité compétente est bien la Région.

définitions PIC

PORTAIL WALLONIE – Implantations commerciales